Nous n’avons jamais pu relire la jolie bluette de George Sand, Carl, publiée dans la Gazette musicale en 1843, sans y sentir vaguement la réminiscence de vrais souvenirs, et sans penser que lorsque George Sand l’écrivait, elle devait indubitablement se trouver sous l’impression des récits de quelque musicien allemand ou autrichien, qui, ayant grandi dans les montagnes, avait réellement entendu dans la nature ce qu’un compositeur élevé dans une ville ne pourrait jamais entendre. ». On voit par la lettre de Mme Sand au père X… De même que l’individu pourra se soustraire aux actes arbitraires que l’on voudrait lui imposer au nom du groupe, de même le groupe pourra refuser son concours à l’individu qui, par mauvaise volonté ou autre motif, ne voudrait plus se plier à la discipline préalablement convenue dans l’entente qui aurait présidé à la division du travail. Les individus se seraient groupés pour mener à bonne fin telle œuvre déterminée, produire tel objet convenu, soit pour l’usage de chacun des coparticipants, soit pour être mis à la disposition de tels groupes ou individus, avec lesquels le groupe en question serait en relation d’amitié ou d’échange. Dans la société future, où l’initiative individuelle aurait ses franches coudées et ne serait pas entravée par la question « monnaie », où les affinités pourraient toutes se faire jour et librement se rechercher, où les caractères pourraient franchement s’harmoniser, on voit ce qui pourrait se faire dans ce sens, et comment pourront s’établir les rapports sociaux, se régler les relations de groupes et d’individus
Cours vite livrer cette commande. Je remarquai surtout la « poétesse ». Nous voyons par tout ce qui précède que la période du plus grand enthousiasme de George Sand pour les doctrines prêchées par Lamennais correspond en même temps à l’époque de sa plus grande ferveur pour les œuvres de Leroux, surtout depuis le séjour à Valdemosa. Nous soulignons ici, une fois de plus, le côté bohème de son entourage, dont nous avons déjà parlé au début de ses relations avec Chopin. Ce sont en général des aldéhydes : la chimie appelle ainsi des corps composés, comme les alcools, de carbone, hydrogène et oxygène, avec une plus faible proportion d’hydrogène. Elle ne s’amusait plus ; elle plissait le front ; elle en avait chaud. Au contraire de Lorenzaccio qui avait simulé la débauche, jusqu’à n’être plus que débauche, elle avait grimacé le renoncement par calcul, mais calcul et grimaces avaient eu raison d’elle. Elle m’aime sans savoir ce qu’elle aime ; elle est innocente de tout l’enfer et de tout le ciel qu’elle me verse. « II. – Le titulaire du compte justifie chaque année auprès du teneur du compte du nombre d’hectares de surface forestière pour lesquels une assurance couvrant notamment le risque de tempête est souscrite
Ma foi, j’ai déjà vu des danses : on y va carrément, on tourne avec aisance, si l’on se bouscule un peu, tant pis, danser est une joie, n’est-pas ? C’est peut être dans l’étang que l’on dit insondable qu’un affaissement du sol l’anéantit, comme la ville de Tolente près de Brest. C’est curieux dans son genre ». Mais, tout cela le lassait ; blasé, il était prêt à brûler ce qu’il avait adoré, quand l’Amour plaça sur son chemin la troublante et virginale Laurence. Je pris le ton qu’il faut pour parler à des sauvages de cette espèce. Cette Solanée est loin d’être la seule plante à se trouver dans ce cas particulier : elle obéit donc à une loi qui veut que les êtres complexes n’arrivent à leur complet développement qu’en passant par des phases successives qui rappellent celles des êtres qui les ont précédés dans le temps
La Toinou s’était bien donné garde que le jeune monsieur, ainsi qu’elle disait toujours, et la Mondinette « ne se jetaient pas les pierres », comme on parle au pays ; mais elle n’en faisait rien connaître, et trouvait bien à propos qu’un beau garçon et une belle fille, comme ils étaient, fussent amoureux l’un de l’autre, et se le disent. Réduire la sauce jusqu’au moment où elle nappe bien la spatule, et la passer à l’étamine. Certes, chez quelques-uns de leurs membres, Fraîche Tuber Brumale il y a plutôt parade et vanité, occasion d’étaler à peu de frais, une philanthropie bien anodine, ou même le moyen de s’y tailler un fromage, mais il faut bien admettre que la plupart des adhérents croient sincèrement faire quelque chose de bien, et, malgré la mauvaise organisation sociale y arrivent parfois. Malgré ces causes de désunion, malgré le choc de ses appétits contraires, l’accord se maintient généralement assez longtemps ; la zizanie ne s’y met que lorsqu’un ou plusieurs des associés plus roublards que les autres, se mettent à tromper leurs coassociés pour s’en faire confier la direction de l’association et la font alors marcher selon leurs intérêts privés, jusqu’à ce qu’ils réussissent à exproprier leurs camarades et à en rester les seuls maîtres