TORELLI (Lélio), en latin Taurellus, jurisconsulte, né en 1489 à Fano, m. en 1576, fut podestat de Fossombrone et 1er magistrat de Fano, chassa de cette ville Scanderbeg Comnène, qui en avait reçu la souveraineté du Saint-Siége, reçut néanmoins de Clément VII le gouvernement de Bénévent et finit par s’établir à Florence, où Cosme I le nomma successivement auditeur de la Rote, podestat, chancelier, 1er secrétaire du grand-duc. TORELLI (GUIDO), d’une famille qui, de 1118 à 1310, eut la souveraineté de Ferrare, mais qui finit par la céder à la maison d’Este, servit le duc de Milan J. Marie Visconti, puis la reine Truffe noire de Bagnoli Naples Jeanne II, entra dans Naples et dans Gaëte, et délivra la reine ; revint ensuite commander les troupes milanaises, battit Carmagnole en 1431, réconcilia François Sforce avec Philippe Marie Visconti, fut fait gouverneur de la Valteline, du Brescian et du Bergamasque, et mourut en 1449 comblé d’honneurs et de richesses. Des actes d’une intrépidité héroïque le firent nommer successivement capitaine, adjudant général, commandant en chef des armements, enfin vice-amiral (1718) ; il n’avait alors que 27 ans. Un instant ses regards croisèrent les miens, comme ces ciels voyageurs des jours d’orage qui approchent d’une nuée moins rapide, la côtoient, la touchent, la dépassent
La grande ville la plus proche de Le Vigan est Cahors et se trouve à 33 kilomètres au sud à vol d’oiseau. 95 000 hab. Cette ville a été très-florissante, mais est aujourd’hui en décadence. Sur la proposition de Daubenton, il fut nommé dès 1793 sous-démonstrateur au Jardin des plantes ; trois mois après, cet établissement ayant été réorganisé, il y devint professeur-administrateur, et fut chargé de la zoologie : il ouvrit le 1er cours qui ait été fait en France sur cette science, commença les collections zoologiques et créa la ménagerie. Et cependant, dans son Hortus regius monspeliensis ou Catalogue des plantes qui sont démontrées dans le Jardin royal de cette ville, publié par Magnol en 1697, elle figure comme étant cultivée dans ce Jardin, sous son nom botanique de Solanum tuberosum esculentum (Pinax) forte Papas Perüanorum (Clusius). Il rendit de nombreuses lois contre la liberté de la presse, et eut à réprimer des troubles incessants dans l’Irlande. Nous ne nous sommes point trompés l’un l’autre, nous nous sommes livrés au vent qui passait et qui nous a emportés tous deux dans une autre région pour quelques instants. Cependant il y avait des jours où je devais voir Albertine seule, jours que j’attendais dans la fièvre, qui passaient sans rien m’apporter de décisif, sans avoir été ce jour capital dont je confiais immédiatement le rôle au jour suivant, qui ne le tiendrait pas davantage ; ainsi s’écroulaient l’un après l’autre, comme des vagues, ces sommets aussitôt remplacés par d’autres
Mais, tout en admirant les ressources du talent et goûtant l’harmonie des vers, j’avais une satisfaction de plus qu’un autre en voyant tous ces auteurs se coordonner à mon système favori ; car la plupart de ces jolies choses ont été faites pour dîner, en dînant ou après dîner. Mon intention n’a jamais été de le priver de ce bel ouvrage. Les avances en ce qui concernait les deux premières avaient été faites par mon oncle Ro, qui, comme tuteur, avait un intérêt naturel à ce qu’elles fussent convenablement pourvues ; quant à mademoiselle Opportunité Newcome, les avances venaient d’elle-même. ’écria Muirlaud, jetant les yeux sur la racine que tenait en main un jeune garçon, ta femme sera tortue ; ton kail ressemble à la queue de mon porc. Tenir le terrain propre de mauvaises herbes par des façons culturales, à la houe à cheval entre les lignes, à la main entre les poquets. Mais ce problème est beaucoup moins bien résolu dans ses romans plus populaires, qui étaient pourtant par hypothèse plus simples à composer et à écrire : ce n’est pas faire injure à Michel Jeury que de constater que son métier d’écrivain, éclatant dans ses œuvres ambitieuses, parait jusqu’ici trébucher quelquefois dans la construction de ses œuvres mineures
ADRASTE D’APHRODISIE, péripatéticien du IIe siècle de J.-C., a laissé des commentaires estimés sur Aristote, dont il reste peu de fragments, et a écrit sur l’astronomie des ouvrages dont on trouve des extraits dans Théon de Smyrne. GEORGE DE TRÉBIZONDE, écrivain grec, né en 1396 en Crète, d’une famille originaire de Trébizonde, mort à Rome en 1486, vint à Venise vers 1430 pour y enseigner le grec ; fut appelé à Rome par le pape Eugène, et chargé de traduire des ouvrages grecs en latin ; mais il s’acquitta avec peu de soin de cette mission et se vit bientôt surpassé par Valla et Théodore Gaza. Il se vit dans sa vieillesse éclipsé par Lulli, son gendre. GEORGE LE SYNCELLE, historien grec, ainsi nommé de la fonction qu’il exerçait (le syncelle était un clerc qui habitait la même cellule que le patriarche et l’accompagnait partout), fut attaché à Taraise, patriarche de Constantinople ; écrivit de 780 à 800, et mourut, à ce qu’on croit, vers 800. Il a laissé une Chronographie qui va jusqu’à l’an 284 de J.-C., et que Théophane l’Isaurien a continuée jusqu’en 813. Elle a été imprimée dans la Byzantine et à Bonn, par G. Dindorf, 1829. Elle paraît avoir été faite, ainsi que la Chronique d’Eusèbe, d’après Jules Africain et offre quelques renseignements précieux