Trib. de 1re instance et de commerce, collége, société d’agriculture. Trib. de commerce. Grand commerce des produits du pays : vins, fers, bois, charbon, briques. Commerce avec Bournou, Kachena, Tombouctou. Fabriques de fromages; commerce de transit. 15 000 h. Port franc ; commerce actif. Fabrique de poudre et de gros souliers dits de Niort, dépôt d’étalons, grand commerce d’eau-de-vie dite de Cognac, et de bois de construction. Monsieur, à 43 kil. SAINT-JEAN-DE-SOLEYMIEUX, ch.-l. de c. (Loire), à 12 kil. SAINT-JEAN-DE-LUZ, ch.-l. de cant. SAINT-JEAN-DE-DAYE, ch.-l. de cant. SAINT-JEAN-D’ANGÉLY, ch.-l. d’arr. (Charente-Inf.), sur la Boutonne, à 60 k. SAINT-JEAN-DE-MAURIENNE, ch.-l. d’arr. (Savoie), à 50 kil. Vire, à 15 kil. 28 kil. S. O. de Ploërmel; 2509 h. 18 kil. S. O. de Bayonne, au fond du golfe de Gascogne; 2793 hab. O. ; 12k. sur 5 ; 6000 hab. 18 k. S. d’Avranches; 3270 hab. S. E. de l’Argentière; 2640 hab
La merveilleuse fécondité des roches sous-marines a fourni le sujet d’un autre livre, que M. C. Millet vient de publier et qui est intitulé : La Culture de l’eau. Prothèses métalliques de la poutre maitresse dissimulées derrière l’épais rideau de coton beige suspendu à la façon d’un baldaquin. A peine l’auteur nous a-t-il appris qu’il s’incline devant la majesté de la nature, que l’éditeur s’empresse d’illustrer cette pensée par deux arbres placés au bord d’une rivière, avec des vaches autour et un clocher à l’horizon ; suit-il seul la jolie route qui sépare Clermont d’Issoire, absorbé par l’admiration des fleurs qui, éveillées par les rayons de l’aurore, se tournent déjà vers l’astre matinal, vite on nous représente un voyageur seul, chargé d’un lourd havresac et la pipe à la bouche. On y trouvera notamment des renseignemens d’un très grand intérêt sur les chevaux de race et sur les chiens domestiques. Cette journée perdue fut, dans cette affaire, ce que fut, à la journée des Dupes, le bouillon pris par Marie de Médicis, qui, retardant sa conférence avec Louis XIII, permit à Richelieu d’arriver le premier à Saint-Germain et de ressaisir son royal captif. Pour une femme, vingt minutes sont tolérables, mais il faudra qu’elle prie son compagnon de bien vouloir l’excuser
Préparer un roux blanc avec 60 grammes de beurre et 60 grammes de farine ; mouiller d’un demi-litre de lait ; bien assaisonner de sel, poivre, muscade ; faire prendre l’ébullition et cuire au four, à découvert, pendant 25 minutes. Faire revenir au beurre et en même temps : 12 mauviettes et 125 grammes de lard de poitrine coupé en dés, blanchi ; ajouter une petite feuille de laurier. La volaille en eſt aſſez ordinairement avide ; il ſuffit de lui donner à boire de temps en temps quand elle en eſt repue. Le printemps suivant, par une belle matinée, elle était debout près de sa fenêtre ouverte, lorsqu’elle vit un beau pinson, à la gorge rouge et au bec gris clair, se poser sur l’arbre qui était en face d’elle. Elles se préparent comme les « Truffes au Champagne » dont la formule est ci-dessus, mais en remplaçant le Champagne par du Madère ; elles se dressent dans une timbale, placée dans une serviette pliée en artichaut. Au cri de stentor d’une egli, à la rage d’un café racer dans les rue de Londres
Dans la baie de Saint-Brieuc, sur le littoral de la Méditerranée, dans l’île de Ré et même dans le bassin d’Arcachon, les résultats ont été presque nuls, le naissain périt, les propriétaires cherchent à se défaire de leurs concessions ou à les convertir en pêcheries à varech. Truffle pour la chasse varier son sujet, il en a élargi le cadre de manière à y faire entrer les mines d’or, les pêcheries de perles, la récolte de l’ambre, une histoire succincte des principaux ornemens et les premières notions de l’héraldique. Il paraît que son père et sa mère avait marché dessus. Une sensation, d’une autre avait fait la critique. Le livre de M. Frédéric de Tschudi sur le Monde des Alpes jouissait depuis longtemps d’une juste célébrité en Allemagne ; les faits nombreux et bien observés, les naïfs récits, les descriptions pittoresques qu’il renferme l’avaient rendu populaire, ce dont témoignent huit éditions successives. Les mœurs de ces gracieux animaux, leurs ruses et leur prodigieuse agilité, qui mettent sans cesse à l’épreuve la patience et le courage des chasseurs émérites, fournissent le sujet d’une foule de récits émouvans. Une foule de récits de ce genre, pris sur le vif, donnent au livre de M. de Tschudi un attrait particulier et font qu’on ne se lasse pas de le lire
Alors même que tout le feuillage latéral de la plante est fané, s’il reste encore au sommet des tiges un bouquet terminal de quelques feuilles, on peut être certain que la plante travaille encore et que chaque jour, par ce petit bouquet terminal, elle fabrique une certaine quantité de matière organique qui, spécialement destinée aux tubercules, peut, même en une quinzaine, augmenter sensiblement le poids et la richesse ; mais aussitôt que ce bouquet terminal est fané à son tour, le gain devient nul et il convient de procéder à l’arrachage ». Alors recommence l’éternelle histoire : à peine a-t-il vu Marthe sur le théâtre dans tout l’éclat de ses succès et de sa beauté épanouie, qu’il s’imagine en être encore amoureux ; il se met à la courtiser de nouveau et n’admet pas que Marthe puisse ne plus l’aimer – lui ! Ceux qui veulent arriver à ce résultat, toujours inutilement poursuivi depuis des siècles, doivent, selon nous, dans l’état actuel des connaissances acquises en histoire naturelle, renoncer à regarder la truffe comme un cryptogame, et cesser de tenter d’en obtenir la multiplication artificielle, en cherchant à la faire croître comme un végétal. Daniel Van Lint propose cette année encore le menu truffe et grands vins