Mieux encore : si, au lieu de cent mille francs, que vous viendriez à trouver, je vous en procurais, moi, quinze ou vingt fois autant, m’admettriez-vous toujours au partage ? Au lieu de transpirer de tout leur corps, les chiens transpirent par les coussinets de leurs pattes et, parfois, par le nez. Trois cents francs au moins par an. A moins que les babines ne saignent, ne suppurent ou présentent des boutons, il n’y a pas de quoi s’inquiéter. Oui, c’est Mary Warren, et l’oncle Ro est un délicieux vieillard, non un délicieux jeune homme, et s’il avait trente ans de moins, il n’aurait pas d’autre épouse que son héritière elle-même. Oui, monsieur le colonel, c’est moi… Oui, Monsieur, tout est disposé, reprit John. Il est le dernier prince qui ait porté le titre de duc de Bourbon. La décoction du bois réduit en copeaux, à la dose de 60 grammes par litre d’eau, est un bon sudorifique. BAILLON (Emmanuel), naturaliste, mort à Abbeville truffes noires en tranches et huile de truffe blanche 1803, eut une correspondance active avec Buffon, et lui fournit de précieux matériaux : la plupart des oiseaux de mer et de rivière qu’on voit au muséum de Paris ont été préparés par lui. ’est la mort pour tous
La truffe d’été est aussi appelée truffe de la saint jean ou truffe blanche d’été, elle se récolte d’avril à mai jusqu’à fin aout, en fonction l’humidité ambiante du printemps. Il a constaté que le tissu cellulaire blanchâtre de la truffe se remplit au moment de la maturité de sporanges renfermant des spores odorantes et brunes qui communiquent à la masse leur parfum et leur nuance. Un autre symptôme, que ne dédaignent pas les observateurs habiles, c’est la présence fréquente d’essaims de mouches au-dessus des points où elles se développent, même en été, alors que, n’étant pas encore mûres, elles n’exhalent qu’un vague et fade parfum. On croit être arrivé, après bien des hypothèses hasardées et contradictoires, à en déterminer la véritable nature, on est même parvenu à établir des truffières artificielles sur plusieurs points de la France ; il n’en est pas moins vrai que l’on marche encore à peu près à tâtons dans ces recherches, quelquefois couronnées de succès, que les pratiques proposées sont tout empiriques, et que les observateurs n’ont pu trouver le dernier mot de cette obscure et intéressante question. M. Martin de Montagnac, pour sa localité, a donné la préférence à des chênes à fleurs caduques ; M. Rousseau, expérimentant sur un autre point, a mieux aimé planter des chênes yeuses, et il y a joint, pour se rapprocher des conditions observées dans des truffières très abondantes, des chênes rouvres, quelques pins d’Alep, avec une bordure de chênes kermès
Ortolans aux Questches. – Ceci est le meilleur apprêt qui convienne aux ortolans, après le rôtissage. Connaissez-vous ceci ? demanda-t-il à la jolie blanchisseuse en lui montrant un billet de banque déplié. Procéder exactement comme il est dit dans la recette précédente. Le pot-au-feu, pris à la lettre, est suffisant. Pendant que la vente du poisson de mer et d’eau douce s’effectue sur le point spécial qui leur est réservé, les autres pavillons ne sont points déserts. Les compresses d’eau fraîches sont quelquefois très utiles. N’auriez-vous pas plus de profit, par exemple, à être femme de chambre dans quelque bonne maison ? Il est rond & en bouton, quand il commence à pousser ; ensuite il se développe, & laisse voir en-dessous plusieurs membranes ou feuillets minces, rougeâtres, fort serrés ; il est lisse, égal, & blanc en-dessus, d’une chair très-blanche portée sur un pédicule court & gros, d’une bonne odeur, & d’une bonne saveur en sortant de terre : c’est pourquoi il faut le cueillir avant qu’il se développe ; car étant vieux, il est dangereux, & acquiert une odeur forte & une couleur brune
La coléreuse avait élevé le ton, et une légère teinte pourpre marquait ses pommettes. » Si la Bouture, le Drageon, la Marcotte, dont la nature se sert pour perpétuer l’espèce, et que l’homme a su mettre à profit pour jouir plus promptement des richesses du Règne végétal, si ces différents moyens donnent des individus entièrement semblables entre eux ; le principe de leur reproduction, disséminé dans tout le corps de la plante, s’affaiblit d’une manière insensible, et diminue de force végétative à mesure qu’elle approche du terme de son extinction ; enfin, il ne paraît pas aussi vivace que celui des mêmes individus originaires de semences, qui semble au contraire aller en augmentant de vigueur, jusqu’à l’époque où cette vigueur, pour être trop subdivisée, a perdu nécessairement de sa force ; d’où il suit qu’en général, une postérité qui a eu pour père primitif, une branche, une tige, une racine, ne prolonge jamais la durée de son existence aussi longtemps que si elle était due à la graine, à ce précieux dépôt de la multiplication. Ceci dit, l’homme a mis au point et perfectionné au fil des siècles la trufficulture, sur des sols de préférence calcaires et bien drainés