Revenons maintenant à la rencontre des deux grands artistes, mais avant tout rétablissons la chronologie des événements pour ne pas suivre les biographes de Chopin dans les sables mouvants des légendes. Une taille moyenne et élancée, des mains longues et effilées, de très petits pieds, des cheveux très fins d’un blond cendré tirant sur le châtain, des yeux bruns plutôt vifs que mélancoliques, un nez busqué, un sourire très doux, une voix un peu sourde, et dans toute sa personne quelque chose de si noble, de si indéfinissablement aristocratique, que tous ceux qui ne le connaissaient pas le prenaient pour quelque magnat. Je ne sais pas si nous viendrons à bout de lui. Il a besoin des montagnes pour se retremper, et nous irons faire un petit voyage dans les Alpes. George Sand possédait un véritable et profond sens musical, nous l’avons déjà noté, en passant, dans le chapitre sur Liszt. Nous avons dit alors même que cette assertion nous était très précieuse, venant de la part de Liszt et redite seulement par Mme Ramann, elle renferme une constatation irrévocable de ce que George Sand était vraiment très musicienne (musikalisch). En 1913, son livre, Pour la Puissance de la Patrie, me frappa par l’énorme effort, par le courage des attaques contre l’esprit de Polytechnique et surtout de l’École de guerre
’après la correspondance, pour la plupart inédite, des deux femmes, aussi bien que dans le livre de M. d’Heylli, nous trouvons toute une série de lettres de George Sand à Solange, à M. et Mme Bascans, qui montrent combien d’attention Mme Sand prêtait à chaque pas, à chaque acte de sa fille, combien elle se donnait de peine pour combattre ses défauts, diriger sa volonté, développer son application, lui apprendre à savoir se maîtriser, à penser aux autres ; combien elle tenait à lui insuffler de saines idées sur toutes choses, combien elle craignait de lui voir perdre son temps en ne s’appliquant pas assez aux leçons. A Armeau, Dominique Rouyer élève dans son exploitation plus de 200 000 habitants… Les plus faibles rendements appartiennent au Cantal, à la Lozère, à l’Aude, aux Basses-Alpes, à la Charente-Inférieure, soit de 20 à 37 quintaux par hectare. En vente directe à la ferme, vous découvrirez ses tisanes, sels et sirops, macérations de plantes fraîches, et baumes aux huiles essentielles
Henry-Paté et Abel Ferry, membres de la Commission de l’armée, se seraient vu expulser du front par le général Dubail. Or donc, j’allai un matin faire une visite au général Bouvier des Éclats, mon ami et mon compatriote. Quand on a parcouru le tas de lettres de George Sand et à George Sand, si nombreuses dans la période de 1838 à 1862, on a la sensation que rien que cette correspondance, si extraordinairement animée, remplirait toute une vie, sans y ajouter le labeur littéraire. Dans le Périgord et le Poitou, le labourage du printemps est même remplacé par un simple binage avec la pioche à double pointe, qui n’entame pas le sous-sol et ménage les racines des arbres. Quand les arbres auront douze ans, il faudra dans chaque rangée en couper un sur deux, de manière à porter à 1 mètre la distance entre ceux qui resteront ; quand ils auront vingt ans, cette distance devra être portée à 2 mètres, et à 4 quand ils seront tout à fait grands. C’est même là ce qui explique pourquoi l’on ne trouve jamais ces champignons souterrains dans les cultures forestières très serrées ni dans les endroits que le feuillage des branches recouvre d’aine ombre trop épaisse
Les épices, les herbes aromatiques et les huiles truffées peuvent également apporter une touche de saveur raffinée à vos plats sans conséquence néfaste pour votre santé ou celle de votre bébé à naître. Ils étaient au nombre de six Indgiens comme ils s’appelaient ; chacun portait un fusil et une poire à poudre. Au pied de la colline du Vézelay, la commune d’Asquins accueille le Domaine Les Faverelles et ses vins Vézelay Bio et Biodynamique, sur une surface de six hectares. Il s’étend de part et d’autre de la Cure, affluent de l’Yonne, et produit un vin de cépage chardonnay sur une surface de 70 hectares. L’appellation s’étend sur une vingtaine de communes situées sur les coteaux bordant la vallée du Serein. Une reconnaissance du travail accompli pour la vingtaine de viticulteurs de ce vignoble. Coulanges-la-Vineuse, c’est aussi le nom d’un vin d’appellation régionale, couvrant un vignoble de 88 hectares sur sept communes, sur la rive gauche de l’Yonne, pour une production annuelle de quelque 3 400 hectolitres de vins des trois couleurs
La truffe d’été est aussi appelée truffe de la saint jean ou truffe blanche d’été, elle se récolte d’avril à mai jusqu’à fin aout, en fonction l’humidité ambiante du printemps. Il a constaté que le tissu cellulaire blanchâtre de la Truffe noire du Périgord se remplit au moment de la maturité de sporanges renfermant des spores odorantes et brunes qui communiquent à la masse leur parfum et leur nuance. Un autre symptôme, que ne dédaignent pas les observateurs habiles, c’est la présence fréquente d’essaims de mouches au-dessus des points où elles se développent, même en été, alors que, n’étant pas encore mûres, elles n’exhalent qu’un vague et fade parfum. On croit être arrivé, après bien des hypothèses hasardées et contradictoires, à en déterminer la véritable nature, on est même parvenu à établir des truffières artificielles sur plusieurs points de la France ; il n’en est pas moins vrai que l’on marche encore à peu près à tâtons dans ces recherches, quelquefois couronnées de succès, que les pratiques proposées sont tout empiriques, et que les observateurs n’ont pu trouver le dernier mot de cette obscure et intéressante question. M. Martin de Montagnac, pour sa localité, a donné la préférence à des chênes à fleurs caduques ; M. Rousseau, expérimentant sur un autre point, a mieux aimé planter des chênes yeuses, et il y a joint, pour se rapprocher des conditions observées dans des truffières très abondantes, des chênes rouvres, Truffe noire du Périgord quelques pins d’Alep, avec une bordure de chênes kermès