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Jul
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» Voici une plante dont aucun auteur n’a parlé, et vraisemblablement c’est par mépris pour elle qu’on l’a exclue des plantes potagères ; car elle est trop anciennement connue et trop répandue, pour qu’elle ait pu échapper à leur connoissance ; cependant il y a de l’injustice à omettre un fruit qui sert de nourriture à une grande partie des hommes de toutes nations. On réussit beaucoup mieux en plantant les tubercules, car avec eux la plante est chaque année si féconde qu’on en recueille souvent cinquante autour d’une racine. Mais la connaissance la plus certaine que nous puissions avoir de la culture des Pommes de terre dans la Toscane, est due au Père Magazzini de Vallombrosa, lequel dans son livre Dell’ Agricoltura toscana, imprimé en 1623, après sa mort, attribue l’introduction des Pommes de terre en Toscane par l’Espagne et le Portugal aux Carmes déchaussés, et parle de la manière de les cultiver, de façon à faire supposer que, depuis un certain temps, elles étaient plantées et cultivées à Vallombrosa. La culture de la Pomme de terre préconisée par ce célèbre Botaniste, placé alors à la tête du Jardin impérial de Vienne, continuée par les horticulteurs de Belgique, transmise à François Van Sterrebeck au XVIIe siècle, à Verhulst de Bruges au XVIIIe, ne se perdit plus dans nos provinces, et, quand Parmentier avait trois ans, nos populations trouvaient déjà sur les marchés publics des villes les Pommes de terre en abondance

Un nouvel arrêt du 23 mars 1716 ordonna de livrer sur place le onzième du produit. » Lunéville, le 4 Mars 1719 ». Aucuns ne prennent la peine de provigner ceste plante, ains la laissent croistre et fructifier à volonté, cueillans le fruict en sa saison : mais le fruict ne se prépare si bien à l’aer, que dans terre, en cela se conformant aux vraies truffes, auxquelles les cartoufles ressemblent en figure ; non si bien en couleur, qu’elles ont plus claire que les truffes surgelées : l’escorce non rabouteuse, ains lice et desliée. Il n’est pas sans intérêt de relater ici ce que Chabrée dit, dans son ouvrage : « qu’on voit aujourd’hui (1666) le Papas americanum, c’est-à-dire la Pomme de terre, dans les Jardins de l’Europe. Les Frères Bauhin nous ont fait connaître à leur tour qu’ils la possédaient en Suisse, et que de là elle avait été importée dans la Bourgogne, qui est devenue successivement la Franche-Comté, c’est-à-dire une partie de la France actuelle. Il faut observer qu’Olivier de Serres dit que cette espèce de truffes, qu’il appelle Cartoufles, était venue de Suisse, et qu’encore aujourd’hui, en Suisse, on donne à la Pomme de terre le nom de Tarteuffel, qui approche beaucoup celui de Cartoufle »

« Le but, c’est de réaliser à Besançon l’inconditionnalité de l’hébergement d’urgence, mais on en a pas les moyens« . ’elle n’attende pas la nuit… Je pars cette nuit. Et voilà bientôt la nuit… Voilà deux jours qu’elle n’a rien pris… Voilà deux heures, que, malgré la neige et le froid, elle est allée pleurer, seule, sur la tombe… Je vous assure que mes deux enfants mâles me manquent beaucoup… Demain matin sans doute… Elle allait dire sans doute « des canailles sans aveu ; » mais elle se retint, en regardant Florent. Elle n’a pas voulu que Madame l’accompagne ! Un rire général auquel s’associa Patt elle-même interrompit la réponse, madame Littlepage même ne refusant pas de prendre part à la gaieté commune. Je m’appelle Poliveau, pour vous servir, madame la comtesse. Et puisque tu l’aimes tant, cette brave bête, je ne veux plus que tu vives loin d’elle

Or, ces deux termes étant encore inconnus, est-il surprenant que le semis direct de truffes n’ait donné jusqu’à ce jour que des résultats négatifs ou tout au moins très contestés ? Dans une photographie ancienne qu’elles devaient me donner un jour, et que j’ai gardée, leur troupe enfantine offre déjà le même nombre de figurantes que plus tard leur cortège féminin ; on y sent qu’elles devaient déjà faire sur la plage une tache singulière qui forçait à les regarder, mais on ne peut les y reconnaître individuellement que par le raisonnement, en laissant le champ libre à toutes les transformations possibles pendant la jeunesse jusqu’à la limite où ces formes reconstituées empiéteraient sur une autre individualité qu’il faut identifier aussi et dont le beau visage, à cause de la concomitance d’une grande taille et de cheveux frisés, a chance d’avoir été jadis ce ratatinement de grimace rabougrie présenté par la carte-album ; et la distance parcourue en peu de temps par les caractères physiques de chacune de ces jeunes filles faisant d’eux un critérium fort vague, et d’autre part ce qu’elles avaient de commun et comme de collectif étant dès lors marqué, il arrivait parfois à leurs meilleures amies de les prendre l’une pour l’autre sur cette photographie, si bien que le doute ne pouvait finalement être tranché que par tel accessoire de toilette que l’une était certaine d’avoir porté, à l’exclusion des autres

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