Ruines d’un château fort, démoli par Louis XI ; restes d’un aqueduc romain; canal de Boisgelin, dont on remarque les écluses et la voûte souterraine. Henri III fut assassiné au château de St-Cloud en 1589 par Jacq. Ce fut d’abord un couvent, fondé par S. Patrick, auquel succéda S. David : ce couvent était au moyen âge un but de pèlerinage célèbre. Cette chronique, qui n’est que l’histoire du règne de Charles VI (1380-1422), a été publiée par MM. Bellaguet et Magin, dans les Documents inédits sur l’histoire de France, 1839-49, 6 v. Le chapitre de St-Denis n’est pas soumis à la juridiction de l’archevêque de Paris : cette exception, qui avait donné lieu à quelques conflits, a été régularisée en 1846 par une bulle du pape. Elles ont été réimprimées en 1514, avec une continuation jusqu’en 1513, et ont reparu de 1836 à 1841 par les soins de M. Paulin Paris, 6 vol. 1er livre français connu qui ait été imprimé à Paris. L’une d’elles, la Bleue des Forêts, rappelle par son nom le temps où la Ville de Luxembourg était le chef-lieu du Département français des Forêts
En règle générale, il vaut mieux attendre 3 heures après le dernier repas avant de prendre des truffes noires en tranches et huile de truffe blanche magiques. «Lessentiel est que la terre reste constamment meuble autour de la plante.» Si tel est le cas, la production moyenne de truffes dun terrain à léquilibre atteint entre 20 à 30 kg/ha, mais il est possible daugmenter ce taux par des approches spécifiques, à commencer par la taille des arbres. Hauts pics de Lomond, lac de Kilkonghar, où est la grotte de Macduff. Ses descendants, parmi lesquels on remarque Macduff qui soutint Malcolm contre l’usurpateur Macbeth, portèrent le titre de comtes de Fife jusqu’en 1353. Le nom de Duff subsista seul à partir de cette époque; mais en 1759, W. Duff de Bracco reprit le titre de comte de Fife. On croit que ce pays fut érigé en comté en 840 par Kenneth, roi d’Écosse, en faveur de Fife-Macduff qui lui donna son nom
FIESQUE, en italien Fiesco, au pluriel Fieschi, illustre famille de Gênes qui remonte aux premiers temps du moyen âge. FIFE (comtes de), illustre famille d’Écosse, dont l’origine remonte selon les uns au roi d’Écosse Duffus, tué dans un combat en 965, selon les autres à Fife-Macduff, qui reçut le titre de comte du roi Kenneth II vers 840, en récompense des services qu’il avait rendus dans les guerres contre les Pictes. Ayant épuisé sa fortune dans la dissipation, il fit des comédies et des romans pour vivre, puis il obtint une place de juge de paix à Londres, emploi qui le tira de la misère et qu’il remplit avec zèle et talent. FIENNES (Robert MOREAU de), connétable de France, né vers 1308 au château du même nom, dans le Boulonnais, mort vers 1385. Après le désastre de Poitiers, où périt le connétable Gautier de Brienne, 1356, il reçut la dignité de connétable comme récompense des services qu’il avait déjà rendus dans la guerre de Cent ans
Dans ce but il dressa une machine infernale dans une maison du boulevard du Temple, et le 28 juillet, pendant une grande revue, il la fit partir au moment où le roi passait devant ses fenêtres, accompagné de son état-major : 18 personnes perdirent la vie, au nombre desquelles le maréchal Mortier; le roi n’échappa que par miracle. On désignait par cette dénomination la terre donnée à titre de récompense par un chef germain ou franc aux guerriers de sa bande, qui l’avaient suivi dans les combats. Enfin, voici un îlot de tamaris, un coin de terre sèche où je m’installe. Réunie momentanément à l’empire romain en 34, elle fut donnée par Caligula au petit-fils d’Hérode, Agrippa, à la mort duquel, en 44, elle fut de nouveau réduite en prov. LEPRÉVOST (Aug.), érudit, né en 1787 à Bernay, m. en 1859, fut député de l’Eure de 1834 à 1848, et vota avec le ministère. FIELDING (Henri), romancier anglais, né en 1707 a Sharpham-Park (Somerset), mort à Lisbonne en 1754, était fils d’un lieutenant général et fut d’abord destiné au barreau. FIESCHI (Joseph), exécrable assassin, né en Corse en 1790, tenta en 1835 de faire périr d’un seul coup le roi de France Louis-Philippe et les princes de la famille royale
Fidèle aux doctrines de Haller, il s’efforça de ramener la physiologie à la Méthode expérimentale, et entreprit, pour surprendre les secrets de la vie, une longue série de recherches : il soumit dans ce but une foule d’animaux vivants à des expériences dont la nécessité seule pouvait faire excuser la cruauté. De-là ces pratiques constamment vicieuses dans le choix du terrein et des cépages, dans la plantation, dans la taille, dans le palissage et l’ébourgeonnement ; de-là cette foule d’onglets, de chicots, de bois mort, de fausses-coupes non-cicatrisées et de chancres qui énervent, qui minent incessamment les plants, et qui amènent sur eux la vieillesse, la caducité et la mort à des époques qui devroient être celles de leur santé, de leur vigueur et de toute leur force productive ; de-là enfin la perte de cette antique renommée dont jouissoient, à juste titre les vins de plusieurs des cantons de la France. Vous avez rencontré dans votre vie de ces traits heureux qui appellent la confiance et la fixent ; vous vous intéressez involontairement à cette physionomie inconnue ; ce n’est pas de la beauté ni même de la grâce ; vous vous dites : « La souffrance a passé par là ; elle a passé, non sans se faire sentir ; elle n’a point rencontré un corps d’airain, une ame de bronze, mais un être faible, tendre, mais une organisation délicate ; la lutte a été cruelle