C’était alors, dans la ville même, comme une sorte de ville particulière toute consacrée au négoce et où chaque corps d’état avait sa rue spéciale dont quelques-unes existent encore, ou du moins ont gardé leur ancien nom : rue des Potiers-d’Étain, de la Heaumerie, de la Cossonnerie (volaille), de la Lingerie, des Fourreurs, de la Cordonnerie, et bien d’autres. Peut-être tous les autres personnages, par cela même, devraient-ils se montrer plus sobres de suspensions et de réticences. Je touchai le point de contact plus intime entre elle et moi, le point magnétique de la similitude des pensées et de l’entente. L’agriculture, elle aussi, a fait des progrès mirobolants ! L’inspection générale de vos notes m’a fait l’effet d’une revue des gardes nationaux parmi lesquels on remarque beaucoup d’absents. Demain, une centaine de journaux donneront le compte rendu d’une scène plus digne d’une salle de récréation scolaire que de l’asile des droits nationaux. Mais enfin maintenant il y aurait une possibilité de les retrouver dans la vie ; elles avaient cessé de ne faire que passer à un horizon où j’avais pu croire que je ne les verrais plus jamais apparaître
L’apparition de la tomate va bouleverser les habitudes alimentaires provençales. Il avoue sa surprise de découvrir de bons restaurants, même dans les villages les plus reculés comme celui de Buoux, où l’on sert quatorze types de hors-d’œuvre : « Cœurs d’artichauts, beignets de petites sardines frites, taboulé bien relevé, morue à la crème, champignons marinés, bébés calamars, tapenade, petits oignons frits dans une sauce à la tomate fraîche, céleri et pois chiches, radis et petites tomates, moules froides. Le pain, dont la consommation est énorme en milieu rural, sert avant tout pour faire tremper la soupe où ont bouilli des racines (raves, navets et carottes qui ont supplanté les panais), ainsi que des produits du potager (pois chiches, lentilles, fèves et haricots venus d’Amérique). La consommation d’huile est avantageuse pour la prévention et la gestion du diabète de type 2, étant donné que l’huile d’olive est généralement fabriquée à partir d’huile de pépins de raisin à saveur d’olive ou de truffe
Si vous pensez pouvoir manger toutes vos truffes en l’espace de deux semaines, conservez-les au réfrigérateur. 3. Mélangez bien chaque chocolat et mettez-les jattes 2 heures minimum au réfrigérateur pour que les mélanges durcissent. Les truffes au chocolat… Les truffes sont nettoyées et tranchées, puis cuites à la vapeur et conservées avec du jus de truffe et du sel marin. Vous pouvez rehausser le goût des truffes d’été en ajoutant du jus de truffe ou de l’huile de truffe à votre préparation. Comment cuisiner les truffes d’été ? Comment utiliser les tranches de truffes séchées ? Utilisation : réhydratez d’abord les tranches de truffe séchées dans de l’eau tiède, qui peut ensuite être utilisée comme condiment, ou réhydratez les tranches dans une poêle avec du bouillon et servez sur des plats chauds et des hors d’œuvres. Sinon, les shiitakes séchés doivent être trempés dans de l’eau chaude avant d’être utilisés dans une recette. Réhydrater les truffes d’été séchées dans de l’eau tiède pendant 20 minutes
Scribe est certes un grand talent. Et c’est en cela particulièrement qu’elle est devenue une plante économique, lorsqu’on a réussi à lui faire développer de plus en plus des tubercules volumineux, pour en tirer le meilleur parti possible au point de vue de l’alimentation de l’homme et des animaux. Dans sa lettre du 20 septembre (tronquée et changée complètement dans la Correspondance) George Sand donne à son fils des conseils comment il faut monter à cheval, sans courir aucun risque, et lui donne aussi des détails sur les chevaux qu’elle et Solange montent au manège. Les hommes, les jeunes gens, les femmes vieilles ou mûres, avec qui nous croyons nous plaire, ne sont portés pour nous que sur une plane et inconsistante superficie, parce que nous ne prenons conscience d’eux que par la perception visuelle réduite à elle-même ; mais c’est comme déléguée des autres sens qu’elle se dirige vers les jeunes filles ; ils vont chercher l’une derrière l’autre les diverses qualités odorantes, tactiles, savoureuses, qu’ils goûtent ainsi même sans le secours des mains et des lèvres ; et, capables, grâce aux arts de transposition, au génie de synthèse où excelle le désir, de restituer sous la couleur des joues ou de la poitrine, l’attouchement, la dégustation, les contacts interdits, ils donnent à ces filles la même consistance mielleuse qu’ils font quand ils butinent dans une roseraie, ou dans une vigne dont ils mangent des yeux les grappes
», etc. Bref, Mme Sand ne voulait point faire « la mouche du coche », mais humblement faire croire qu’elle n’était que « la cinquième roue du carrosse », que ses amis n’étaient aucunement responsables de ses rêves « d’une meilleure société » dans l’avenir ou de ses opinions personnelles, mais qu’elle, non plus, n’était point solidaire de leurs doctrines politiques, parce qu’elle n’était d’aucun parti, tandis qu’eux croyaient que la lutte des partis était indispensable. Mais il cherchait d’une façon extraordinaire et tout à fait souterraine. Quand sa femme mourut, la sœur aînée de celle-ci, madame Lecœur, qui était veuve depuis un an, la pleura d’une façon exagérée, en allant presque chaque soir porter ses consolations au malheureux mari. Il garda la rôtisserie jusqu’en 1856. À cette époque, le bruit courut qu’il avait gagné des sommes considérables en s’associant avec un épicier son voisin, chargé d’une fourniture espèces de truffes légumes secs pour l’armée d’Orient. Elle dut nourrir, à cette époque, le projet de lui plaire et de prendre la place encore chaude de la morte