Le lait d’amande convient à ceux qui ont des ardeurs d’urine, à ceux qui ne peuvent dormir, à ceux dont le ventre est ou trop resserré ou trop libre ; il convient aux gens maigres, &c. L’Amande est d’une chair compacte, serrée, trés-difficile à digerer ; mais le lait qu’on en tire, & qu’on appelle Lait d’Amande, est trés-sain & trés-nourrissant. Les Avelines & les Noix ont une chair friable, mais compacte, dure & serrée, sur laquelle les levains de l’estomac ne font que glisser : ce qui les rend trés-difficiles à digerer. Les Avelines & les Noix sont assez nourrissantes, quand on fait tant que de les digerer. Ces sels sont cause que les émulsions trop long-tems gardées, s’aigrissent, & contractent de la rancissure ; mais aussi les parties huileuses, & le phlegme que les amandes douces renferment, rendent ce fruit, quand il n’est point trop vieux, & que ses sels n’ont pas eu le tems de s’exalter, extrêmement propre, pour adoucir le sang, pour apaiser les coliques, pour procurer le sommeil, pour modérer les trop grands cours de ventre ; en un mot, pour remedier à toutes les maladies qui viennent d’humeurs acres & corrosives, pourvû toutes-fois qu’on ne mange point les amandes, mais qu’on n’en prenne que le suc : car encore un coup, la chair des amandes est difficile à digerer : de plus, comme cette chair est extrêmement compacte ; elle tient à l’étroit dans ses pores, des particules elastiques d’air, lesquelles venant à se dégager dans l’estomac, & dans les intestins, causent des gonflemens trés-incommodes
Après lui avoir donné à goûter une fois ou deux, pas davantage, lui cherchant querelle à propos de persil, je le traitai de tête de cheval, de salop, de canaille, de gueux, d’imbécile, d’ignorant, et lui envoyai la porte dans l’estomac. Un bon imbécie qui, d’une méchante vigne qu’il possédait au monde, s’était fait une centaine de ducats et les avait mis dans une caisse, s’était fourré dans la tête de me vouloir pour femme. » Il me donnait du tu, comme si j’étais maintenant tout à ses ordres, pour le prêt qu’il m’avait fait. Cela ne fait qu’accentuer la baisse régulière de la production, entamée depuis des décennies. Il était un jour chez moi, tout caillé du tocsin que battait son cœur, parce que j’avais fait mine d’être coiffée d’un autre. Je l’embrasse, je le caresse, si bien que le voilà remis tout à fait. » La servante s’en va ouvrir le coffre et me laisse caresser la queue au matou, qui se croyait bien en garde contre les roueries, en habile homme ; je l’ensorcèle, il était déjà tout ensorcelé, mais le tapissier me presse, et j’avais déjà crié plus d’une fois : « Dépêche-toi donc, bête
Le fruit est une amande ronde ou presque ronde, un peu rougeâtre, revêtuë d’une petite peau, & enfermée sous une écorce ligneuse & cassante, qu’une coëffe membraneuse, déchiquetée à l’extrémité, recouvre entierement ou en moitié, selon l’espece de l’arbrisseau ; car il y a deux sortes de Coudriers, l’un, donc les feüilles sont plus grandes, & les fruits absolument cachez dans leur enveloppe exterieure ; l’autre, dont les feuilles sont plus petites, & les fruits à demi couverts de leur coëffe, qui les environne en maniere de calote. Car Amande reconnut en son amant de hasard son mari, Adalbret de Baverne d’Arnet. Car c’est la conclusion que l’Anonyme veut que l’on tire ; nous ne laisserons pas cependant de persister dans nôtre premier sentiment, & nous dirons, avec un sçavant Medecin, qui nous a laissé d’excellens Ecrits sur les alimens, que si la noix porte le nom de Roïale, ce beau titre ne la rend pas meilleure, puisqu’il n’empêche pas qu’elle ne cause des douleurs de tête, qu’elle n’excite la toux, & qu’elle ne soit trés-difficile à digerer. Classé dans les aliments chauds et humides, il était censé faciliter la digestion et réservé aux malades car rare et cher. O. de Laghouat, était le siége d’un chef arabe longtemps indépendant, qui ne fut soumis qu’en 1852. Passage des caravanes qui vont dans l’intérieur de l’Afrique
↑ a et b Jean-Pierre Saltarelli, Les Côtes du Ventoux, origines et originalités d’un terroir de la vallée du Rhône, Le Pontet, A. Barthélemy, Avignon, 2000, 207 p. Des salles. Toutes pareilles sauf deux. Des salles vides, vides, vides, vides. Jus de pommes pour les gosses, coup de blanc pour les hommes. Dresser au moment ; passer et dégraisser le fonds ; le lier avec du Velouté de poisson ; relever cette sauce de jus de citron. Sur une estrade élevée, au bord de ce lac enchanté, quinze musiciens, dont deux grosses caisses, une caisse roulante, un tambour, un triangle, un pavillon chinois, et deux paires de cymbales, flanqués pour la forme de quelques cors ou clarinettes, exécutent des mélodies d’un style aussi pur que le flot qui baigne les pieds de leurs tréteaux ; pendant que les plus brillants équipages circulent lentement dans cette mare, aux acclamations ironiques du peuple roi, dont la grandeur n’est pas la cause qui l’attache au rivage. Elle était, au rapport de Mme de Sévigné, une des femmes les plus distinguées du XVIIe siècle, et elle tenait à Rambouillet. La composition dont Gisèle avait envoyé la copie à Albertine nous fut immédiatement lue par celle-ci, car, devant elle-même passer le même examen, elle désirait beaucoup avoir l’avis d’Andrée, beaucoup plus forte qu’elles toutes et qui pouvait lui donner de bons tuyaux
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