Je me représentai cet enclos idyllique par une nuit étoilée et tout couvert de fleurs printanières, et je compris l’esprit qui pénètre ’les écrits de cette femme célèbre. Alfieri, La Harpe et Chénier ont mis sur la scène le meurtre de Timophane par Timoléon. Il est clair aussi que l’auteur de la Lettre du paysan de la Vallée Noire devait saluer avec la plus vive sympathie, dans le numéro du 4 novembre de son Éclaireur, la publication de la Pétition pour l’organisation du travail (dans la Réforme fondée par Louis Blanc). Les résultats de ce changement se sont traduits par une prodigieuse amélioration des Hors-d’œuvre, tant dans leurs préparations et variations que dans leur présentation ; et il n’est peut-être pas de partie de l’art culinaire où, en ces dernières années, le progrès se soit manifesté plus sensiblement. En attendant, je dégusterais bien les tiens : il n’en reste pas un petit pour moi ? Ce qu’il faut avoir bien présent, c’est que les tubercules réclament une obscurité moyenne, une humidité modérée, qu’il faut demander autant que possible aux eaux pluviales, car les irrigations artificielles contiennent des sels terreux nuisibles aux truffes surgelées, enfin un renouvellement de l’air confiné qui les baigne
Maison Occitane à sélectionné pour vous les plus belles Truffes du Périgord, le fleuron de la haute gastronomie. L’utilisation de la moulinette pour travailler vos truffes est rédhibitoire. Celui-ci se traite comme les laitances en observant, toutefois, que son pochage est un peu plus long. J’ai observé, avec attention les ouvriers qui viennent chez moi ; et quand ils s’abandonnent sans réserve au penchant, trop commun chez les Allemands, pour les liqueurs fortes, ils arrivent à leur fin tous à peu près de la même manière. Cet appartement me conviendrait bien, se dit-il en arrivant chez lui. Aucun prêtre n’a mis le pied chez lui. « Pendant ces quinze derniers jours, ma mère était à Verneuil, chez les dames V.., et les lettres ont eu trois semaines de retard ; tu vois par quelles angoisses j’ai passé. Ses Œuvres ont été rassemblées à Paris et traduites en 1790, et par E. Daire, Paris, 1843, 1 vol. Depuis qu’il avait quitté Rouen, sa vie était assez désorientée ; il avait renoncé à habiter Paris, trop tumultueux pour ses goûts. Il s’était réfugié à Mantes, qu’il habita pendant quelques années. En revoyant les clochers de Mantes, j’ai cru devenir fou, et je suis sûr que je n’en ai pas été loin
Une statue à Rouen, en parallèle à celle de Corneille ! À peine Bouilhet fut-il mort qu’il voulut lui faire élever une statue sur une des places publiques de Rouen. La ville de Rouen vint l’y chercher et en fit son bibliothécaire. Depuis qu’il était revenu à Rouen après sa nomination de bibliothécaire, (août 1867) notre pauvre Bouilhet était convaincu qu’il y laisserait ses os. Elle avait un fils nommé Philippe, que Bouilhet éleva, qu’il mit dans la bonne voie comme s’il eût été son père. Son ami Caudron avait choisi son terrain tout près de celui du père Flaubert. En effet, en 454 & 461, on voulut les faire revivre ; plusieurs citoyens furent condamnés, pour avoir en propriété un nombre de journaux plus fort que celui permis par la loi. » Une modification profonde s’était opérée en Bouilhet, qui ne la remarquait pas et dont Flaubert ne s’apercevait pas davantage ; il était envahi par une tristesse vague, sans motifs sérieux, car toute inquiétude matérielle avait disparu de sa vie ; il dormait mal, sa soif était continue, il travaillait peu et difficultueusement ; parfois il restait de longues heures la tête appuyée sur son fauteuil, immobile, les yeux ouverts, comme emporté dans un songe interne dont lui seul avait conscience
Il n’avait pas la proportion des choses et sa tendance vers l’exagération était tellement augmentée par l’amitié qu’il a cru que Bouilhet était le plus grand poète du XIXe siècle ; il me l’a dit, ce qui était sans conséquence, mais il l’a dit à d’autres, et c’est Bouilhet qui en a souffert. Je me trouvai dans une grande chambre, haute d’étage, et mal éclairée par une seule lampe fumeuse. Le mal était irréparable, comme du reste Villemin me l’avait écrit. Le parfum de cette truffe brumale rappelle celui de la vraie truffe noire, avec un mélange d’odeur caséeuse qui dans certains cas peut aller jusqu’à la fétidité, s’il est vrai, comme on l’assure, que ce soit l’espèce nommée par les paysans de Nérac truffo pudento (truffe puante) et par les Tourangeaux truffe punaise ou truffe fourmi. Les laboureurs ont tant d’occupations dans cette saison, que souvent, faute de temps, lorsque la pluie, la gelée, ou quelque accident les contrarient, ils sont obligés de laisser une partie de leurs champs sans l’employer. Le groupe consultatif qui devait se concerter pour déterminer la publication des œuvres posthumes de Bouilhet n’eut pas à se réunir, Flaubert fit son choix et n’écouta pas nos observations lorsque nous eûmes à lui dire que le titre adopté par lui : Dernières Chansons, était ambigu, donnerait lieu à une fausse interprétation et compromettrait le succès du livre