Pour une dégustation optimale, nous vous recommandons de consommer vos Truffes noires et blanches fraîches de préférence dans un délai de 2 mois. Il ne lui reste plus qu’à trouver une solution pour pouvoir continuer à proposer à ses clients des produits de qualité. C’est ainsi que la truffe au chocolat vit le jour et devint l’une des friandises les plus emblématiques de Noël. Mais il a de plus une excellente harpe, M. Krüger, et c’est pour l’Allemagne une véritable rareté. Cependant, une fois découpé, ce champignon noir arbore une chair blanche. Bien sûr, notre “fougier” (patois local du mot trufficulteur) déplore le temps où les troupeaux de brebis, nombreux dans le Vaucluse, entretenaient en broutant et par leur fumure le sol de ces truffières où la présence du précieux champignon se décèle à la vue par un cercle dépourvu de végétation aux pieds des arbres. Il est bien trop tard, il faut maintenant que nous attendions qu’il soit midi pour retourner chez nous. Notre sélection de truffes noire lisse au chocolat se décline en plusieurs formats de sachets et de ballotins que nous vous invitons à choisir selon vos envies ! Avec ses délicieuses saveurs de crevettes, coco et citron, il saura ravir votre palais et vos papilles
La partition d’Harold ayant été publiée quelques années après, M. Fétis a pu se convaincre par ses yeux que les deux notes entrent toujours dans l’harmonie. Il est catholique romain, mais il me paraît homme sans préjugés, et avoir un fonds de zèle et d’admiration infini pour V. M. Elle a été la source de ma liaison avec M. de La Tour, qui fait, Sire, la profession la plus ouverte de vous être dévoué. « Cette culture est des plus simples, disent MM. Decaisne et Naudin dans leur Manuel de l’Amateur des Jardins (1871). On les reproduit par la plantation des tubercules en rigoles, à 15 ou 16 centimètres de profondeur, dans une terre ameublie, légèrement fumée avant la plantation ou après une fumure d’un an qui a déjà alimenté une récolte de légumes. Mais à cette époque les miracles foisonnaient, plus tard on l’eût taxé de folie. Vous ne vous apercevez pas qu’en m’exprimant une effusion filiale, qui me touche et qui m’honore, vous vous servez de mots qui, mal interprétés, seraient le langage de la passion la plus exaltée. Ce programme n’a rien d’extravagant et on peut compter sur les surprises que nous réserve un pays où les plus grosses réformes s’opèrent sans fracas, la machine sociale toujours solide, quoi qu’on en dise, sachant adapter ses rouages, elle l’a maintes fois prouvé, aux besoins du temps, et les classes dirigeantes montrant une inépuisable bonne volonté à favoriser le progrès, pourvu que des voix autorisées le réclament comme nécessaire, au nom de la prospérité générale
Mais les grandes puissances coloniales qui ont des possessions dans le monde entier ressemblent à ces grands seigneurs qui ont hérité de vastes terres où ils ne mettent jamais les pieds, et qui les font administrer par des intendans à la bonne foi desquels ils sont obligés de s’en remettre. Ajouter 4 cuillerées de crème bien fraîche par 100 grammes de l’élément pilé, et passer à l’étamine. Égouttez-les, puis écrasez-les avec du beurre, de la crème et du sel. De même, il arrive souvent qu’à partir d’un certain âge, l’œil d’un grand chercheur trouve partout les éléments nécessaires à établir les rapports qui seuls l’intéressent. » Au surplus était-il certain que, devenus Anglais, les fermiers du Transvaal n’eussent plus rien à craindre, qu’ils pussent dormir sur leurs deux oreilles, que l’Angleterre s’entendît mieux qu’eux à tenir en respect des voisins incommodes, égorgeurs et pillards? On avait dit aussi à ces paysans qui sont de très grands propriétaires et qui ont besoin d’avoir beaucoup de bras à leur service que la chrétienne Angleterre les annexait par philanthropie, qu’elle entendait défendre contre eux leurs serviteurs qu’ils maltraitaient, les indigènes qu’ils réduisaient en servitude
Ils se flattaient que l’annexion anglaise allait tout changer, tout transformer, qu’ils obtiendraient des concessions de mines et de travaux publics, des emplois, des fournitures, que l’or britannique pleuvrait sur les collines et sur les plaines comme une manne bénie, qu’on le ramasserait à la pelle, que les potirons du Transvaal doubleraient de taille et que désormais tous les œufs de poule auraient deux jaunes. L’état financier du pays ne tendait point à s’améliorer, la dette s’était accrue, le chemin de fer de la baie de Lagoa était encore à l’étude, l’or britannique n’avait point opéré de miracles, les concessions étaient rares, les entreprises demeuraient en suspens, et quoi qu’en eût dit le général Cunynghame, « les collines dorées de notre admirable district espèces de truffes Lydeoberg » ressemblaient beaucoup aux sévères collines d’avant l’annexion. Dans les colonies, les fonctionnaires publics forment une classe; leurs entours constituent ce qu’on appelle la société et font bande à part, sans se mêler jamais aux gens du pays et sans se douter qu’ils en sont méprisés. Mais si les subalternes employés par l’office des colonies lui représentent les colons anglais sous un faux jour, combien plus fausses et plus difficiles à contrôler sont les idées qu’ils lui donnent touchant les populations sujettes et les tribus avoisinantes