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Vous, moi et le Truffes Noires : La vérité

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Pendant quelques jours, les deux partis restèrent en présence. Malheureusement, ce procès, qui dura deux mois, se déroula dans une atmosphère de guerre civile. Nous sommes très porté à reconnaître dans beaucoup d’épanchements d’Isidora l’écho des confessions faites à George Sand par Mme Hortense Allart. La ville de Lyon était, en 1792, beaucoup plus républicaine qu’elle ne le devint dans la suite après qu’une certaine république eût prétendu s’imposer à elle par les horreurs de Collot d’Herbois et de Fouché. Ampère pouvait présider le tribunal de police correctionnelle dans une ville que gouvernait le fameux général Marat, le prince de Hesse et où Chalier régnait en maître, avec quelques acolytes dignes de lui, tels que le ci-devant Riard de Beauvernois, l’imprimeur Dodieu, le vicaire défroqué Portalier, etc. J.-J. Ampère, à cette époque, n’est plus seulement juge de paix ; il est officier de police de sûreté et préside le tribunal de police correctionnelle. Ampère lance les mandats d’arrêt, notamment contre Chalier, commence les enquêtes, recueille les renseignements, interroge les prévenus, forme en résumé guide ultime des truffes dossiers qu’il transmet au tribunal. J.-J. Ampère, en sa qualité de juge de paix, se trouva, comme la plupart des administrateurs taxés de modérantisme, avoir à combattre contre la bande d’énergumènes que conduisait le fameux Chalier, ancien commerçant en soie lui aussi, avec lequel son négoce avait pu déjà le mettre en relations

Marcel hésita un instant, Truffes noires d’été fraîches se demandant s’il continuerait sa route ou s’il suivrait son frère. Adrien, paysagiste, frère de Guillaume le Jeune (1639-72), d’Amsterdam, fut élève de Wynants. VAN DEN HOECK (Jean), peintre, élève de Rubens, né à Anvers en 1608, m. vers 1650, se rendit à Rome, où il se fit bientôt remarquer, fut appelé à la cour de Vienne par Ferdinand II, puis revint dans sa patrie. Comme auteur comique, Vanbrugh est plein de verve et de sel, mais aussi d’une licence excessive ; comme architecte, son mérite est contesté : cependant on le jugea digne de construire le palais de Blenheim, voté par la nation au duc de Marlborough. À la hauteur de 1,700l mètres, le froid est trop vif, truffes surgelées l’été trop court et le vent trop violent pour que le hêtre puisse encore subsister ; aussi sur le Ventoux, comme dans les Alpes et les Pyrénées, un arbre de la famille des conifères est le dernier représentant de la végétation arborescente : c’est une espèce de pin assez basse, appelée pin de montagne (Pinus uncinata), par les botanistes, parce que les écailles de ses cônes sont recourbées en hameçons. Il se distingue par la finesse de sa couleur, à la fois vive, intense et brillante, et par le soin qu’il donne aux accessoires

Le 12 juillet, la Convention exaspérée déclare Lyon en état de révolte ouverte. Ampère, qui avait perdu, après le 4 août 1789, ses paisibles fonctions de procureur fiscal à Poleymieux, était devenu juge de paix à Lyon dans le canton de la Halle au blé. Chaque année, M. Ampère passait deux mois à Lyon ; il conduisait son fils à quelques leçons du cours de physique de M. le professeur Mollet. La recette de ces concerts gigantesques (il y en a toujours deux) est fort considérable, la salle du Manége pouvant contenir près de quatre mille personnes, malgré la place énorme que prend l’amphithéâtre sur lequel sont élevés les exécutants. Mais il est inutile de dire qu’on ne lui savait aucun gré de son équité et le procès « monstrueux » du « vertueux » Chalier devait déchaîner contre lui la colère des Jacobins. Cette entrée, contrairement à ce qu’on aurait pu attendre, étant donné les mœurs du temps et la longueur de la résistance, se fit presque en ordre et ne ressembla nullement d’abord au sac d’une ville conquise. Pour ces gens-là, qui sont particulièrement intéressans, car ils sont en général très pauvres, tout déplacement est une perte de temps onéreuse

Washington allait-il perdre le monde arabe tout entier pour les beaux yeux du peuple hébreu? Il avait refusé, pour se livrer tout entier à son art, les plus grands honneurs ecclésiastiques. Son salon devint bientôt le rendez-vous de toutes les illustrations littéraires. M. G. Desclosières a publié une Notice sur sa vie et son invention. Aylian : Mais non, je suis encore en vie ! Mme Sand s’exprime ainsi dans l’Histoire de ma Vie : Nous avions quitté les pavillons de la rue Pigalle, qui lui déplaisaient, pour nous établir au square d’Orléans, où la bonne et active Marliani nous avait arrangé une vie de famille. Aylian : Mais nous ne nous sommes pas encore lancé dans un combat depuis ce matin ! Pouvais-je ne pas seconder une aussi louable intention ? Parmi ses nombreux tableaux on remarque un S. François d’Assise recevant les stigmates (au Louvre), et une mosaïque représentant S. Pierre marchant sur les eaux (dans St-Pierre de Rome). Il se rallia aux Bourbons en 1815 et fut 1er veneur de Louis XVIII et de Charles X. On a de lui un grand nombre d’écrits de circonstance, parmi lesquels on remarque : Projet de législation sur les chasses, 1817; la Question chevaline simplifiée, 1843. Il est père de M. Émile de Girardin, le célèbre publiciste

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